Le beau-père est passé à la maison, dans une nième tentative ridicule de Caro de se faire aider sans jamais rien demander. Apparemment, il a eu peur en allant à la toilette, et il viendra la réparer avec le beau-frère.
Comme je passerai pour l'imbécile de service qui n'a pas été foutu de faire le travail moi-même, j'aimerais juste préciser que j'ai demandé à "la responsable de la maison" de "donner le contrat" il y a de ça deux ans, si ce n'est pas trois, après m'être rendu à l'évidence, après quelques heures de réflexion, que je n'aurai pas le temps de le faire moi-même.
J'ai même dit, encore il y a quelques jours, un troisième nom à qui demander parmi ses connaissances. Le premier qui fait ça dans la vie, mais qui depuis des années se calisse ben de nous autres (dernièrement, c'est juste plus évident, même qu'on dirait qu'il est soit disparu, soit mort). Le deuxième, qui a offert de le faire gratuitement, mais qu'on attend toujours. Et ledit troisième qui a bâti le kiosque où elle a travaillé cette été. Et qui apparemment est sans travail.
Mais elle continue de dire que j'ai été dire que je le ferai moi-même! Que j'ai presqu'aussitôt constater que c'était virtuellement impossible et dit d'appeler les amis à la rescousse n'y change rien.
C'est donc la honte perpétuelle lorsque quelqu'un passe la porte de la maison. Et je devrais penser que je suis la cause du problème. Alors, cher visiteur, avant de blâmer le "dépressif" qui ne fait plus rien jusqu'à ce qu'elle parte, svp, demandez le reste de l'histoire... Elle sera crissement moins rose que vous ne le croyez! Personne, sauf peut-être Sarah, ne connait la même Carole que moi...
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Dans mon message matinal, j'ai dit à Martin que si il y avait un loin qui trainait, j'étais preneur. Une fois fini de préparer, je suis allé rejoindre Caro au déjeuner des sacoches. Puis Martin me téléphona. Il voulait savoir si c'était correct pour le Wichita. Merde, j'ai oublié de lui répondre! Oui, oui, ça va, je le prends!
Je suis parti vers Joliette, QC pour un premier arrêt aux Galeries de Joliette. Je devais aller régler avec l'assurance de l'auto. Ce ne fut pas facile... Et ce n'est pas terminé. Genre de comédie d'erreur.
Je me suis rendu ensuite à la 31, puis à la 40 ouest. Je me suis arrêté au Métro Marquis de Repentigny, QC pour dîner. Sans remorque, c'est plus facile. On y mange très bien, pour pas vraiment cher. Et ce fut très bon, comme toujours.
Je me suis ensuite rendu à notre cour de Montréal-Est, QC pour y ramasser ma remorque. Touptit est arrivé derrière moi. J'ai accroché ma remorque, puis je suis allé en faire l'inspection. Ensuite, j'ai fait tout mes papiers.
Je suis alors parti pour la traversée de Montréal. C'était au ralenti, comme toujours, mais quand même raisonnable. Puis, je me suis arrêté au ONroute de Bainsville, ON pour la pause café et muffin. Et malgré mon appel, aucun Réal ni Beding n'y était.
J'ai repris la 401 ouest donc, tout fin seul comme un grand. Rendu à Lansdowne, ON, la circulation s'est arrêtée net. Aucune raison valable, juste une zone de construction présente depuis des mois. Enfin...
J'ai fini par m'en sortir. Et rouler jusqu'au ONroute de Napanee, ON pour y souper. De retour sur la route ensuite pour me rendre jusqu'à la halte routière de Clarington, ON. Un petit café nécessaire avant d'entreprendre la traversée de Toronto, ON. Je n'aurais pas cru ce matin me rendre aussi loin. Mais ça fait deux semaines de suite que je pars tard et me rend aussi loin. J'en reprends!
J'ai pris une chance au ONroute de Cambridge, ON. Il était plein. Pas vraiment surprenant. J'ai donc repris l'autoroute jusqu'au Trucker Haven de Drumbo, ON. La journée s'acheva ici.
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