Je me suis réveillé naturellement. Hier, Jocelyn me disait trouver ça drôle que je livre aujourd'hui, jour de l'Action de Grâce. Ben, c'est Martin qui m'envoie, j'imagine qu'il s'est informé avant de m'envoyer! En vérifiant ma feuille d'assignation, je constate que c'est pour huit heures plutôt qu'à dix, comme je le croyais.
Un coup d'oeil au GPS pour y voir l'heure d'arrivée prévue: oh là, il faut que je parte au plus vite! Je prends donc la 209 nord. Puis, je prends la 30 est jusqu'à la 112 est. En passant devant le site où mon cousin Mario et Lyne se sont mariés, j'ai trouvé que les environs, à l'époque un champs, s'étaient beaucoup développés.
En arrivant à Rougement, QC, première constatation: c'est bien ouvert. Mais il y a bien peu d'employés, si je me fis au nombre de véhicules sur place. Équipe réduite, probablement, mais ouvert quand même.
Je vais au bureau de la réception. Ici, il faut aller livrer dans l'entrepôt de l'autre côté de la rue. Je retourne donc au camion et vais vers le quai. Tiens, le W900 qui a chargé juste avant moi à Denton, TX. Hé ben. Quand je me dis que je suis aussi rapide qu'un autre, ben, je commence à me croire!
Une fois le W900 vide, j'ai été moi aussi vidé assez rapidement. Je devais aller à Montréal-Est pour échanger ma remorque. J'ai pensé que je pouvais aller déjeuner au Voyageur, le célèbre relais de Boucherville, QC.
Mais à mon arrivée, je constate que eux sont en congés pour la fête. Bon, ça va mal. Heureusement, le Tim, mais surtout le A & W d'en face, eux, n'avaient pas plus de vie que moi, alors ils étaient ouvert. J'y ai mangé un excellent déjeuner "normal". Ça, c'est réconfortant.
Je me suis rendu ensuite à notre cour de Montréal-Est pour changer la remorque, moins appropriée pour Joliette pour une qui l'est. Question de rigidité des murs.
Arrivée à l'usine de pneu de Joliette, QC, je suis allé me débarrasser de ma remorque. Puis je suis allé au bureau. Mais la belle Martine: elle a aussi congé! Tout le monde a une vie, sauf les camionneurs. Un confrère attendait d'ailleurs au bureau dehors. Je me suis souvenu que les jours fériés, il n'y a personne, et ce sont les gardiens qui signent notre billet de sortie.
Je me suis donc rendu directement à la barrière. Puis, un bout sur la 131 nord vers la maison. Le congé sera bien mérité.
Un coup d'oeil au GPS pour y voir l'heure d'arrivée prévue: oh là, il faut que je parte au plus vite! Je prends donc la 209 nord. Puis, je prends la 30 est jusqu'à la 112 est. En passant devant le site où mon cousin Mario et Lyne se sont mariés, j'ai trouvé que les environs, à l'époque un champs, s'étaient beaucoup développés.
En arrivant à Rougement, QC, première constatation: c'est bien ouvert. Mais il y a bien peu d'employés, si je me fis au nombre de véhicules sur place. Équipe réduite, probablement, mais ouvert quand même.
Je vais au bureau de la réception. Ici, il faut aller livrer dans l'entrepôt de l'autre côté de la rue. Je retourne donc au camion et vais vers le quai. Tiens, le W900 qui a chargé juste avant moi à Denton, TX. Hé ben. Quand je me dis que je suis aussi rapide qu'un autre, ben, je commence à me croire!
Une fois le W900 vide, j'ai été moi aussi vidé assez rapidement. Je devais aller à Montréal-Est pour échanger ma remorque. J'ai pensé que je pouvais aller déjeuner au Voyageur, le célèbre relais de Boucherville, QC.
Mais à mon arrivée, je constate que eux sont en congés pour la fête. Bon, ça va mal. Heureusement, le Tim, mais surtout le A & W d'en face, eux, n'avaient pas plus de vie que moi, alors ils étaient ouvert. J'y ai mangé un excellent déjeuner "normal". Ça, c'est réconfortant.
Je me suis rendu ensuite à notre cour de Montréal-Est pour changer la remorque, moins appropriée pour Joliette pour une qui l'est. Question de rigidité des murs.
Arrivée à l'usine de pneu de Joliette, QC, je suis allé me débarrasser de ma remorque. Puis je suis allé au bureau. Mais la belle Martine: elle a aussi congé! Tout le monde a une vie, sauf les camionneurs. Un confrère attendait d'ailleurs au bureau dehors. Je me suis souvenu que les jours fériés, il n'y a personne, et ce sont les gardiens qui signent notre billet de sortie.
Je me suis donc rendu directement à la barrière. Puis, un bout sur la 131 nord vers la maison. Le congé sera bien mérité.
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