21 janvier 2008

Bon vieux film

Je viens d'écouter le film Maman last call, d'après le roman de Nathalie Petrowski, avec Sophie Lorain et Patrick Huard dans les rôles principaux, et Anne-Marie Cadieux dans le rôle secondaire exagéré (dans le sens de plus que secondaire).

Pour ceux qui ne l'aurait toujours pas vu, il s'agit de l'histoire d'une femme de 37 ans qui tombe enceinte, alors qu'elle en est toujours à se demander si elle veut un enfant ou non. Le papa, qui n'en voulait pas nécessairement, devient celui qui doit convaincre sa dame qu'elle ferait une bonne maman. On voit aussi que les amis célibataires sont parfois attristés parce que ça signifie un changement dans la vie sociale d'un couple. Au milieu de tout ça, on voit les relations au travail ainsi qu'avec sa propre mère de la future maman.

L'histoire simple passe très bien. Les comédiens sont tous très bons. Patrick Huard m'étonne à chaque fois que je le vois dans un film. Anne-Marie Cadieux aussi. Rigolo aussi de voir Mme Uniprix qui s'ouvre un sexe-shop!

Un autre bon moment de cinéma...

P.S.: je vais pouvoir écouter maintenant le téléfilm Miss Météo, qui est un dérivé de Maman last call, ainsi que la série qui s'en suit, que Sarah veut tellement que j'écoute avec elle.

Ce matin, Sarah me dit: Je te dis que Myriam Monette, 'a fait des drôles de rêves!
Moi: ben, c'est qui ça, Myriam Monette, je la connais t'y?
Sarah, pendant que Caro s'écrase de rire: Ben là, c'est Miss Météo!!!
Câline, ma fille est accroc!!!

Le grand 10-45

Tiens, ça me tente de partir une tradition sur mon blogue. Tous ceux qui ont un blogue peuvent m'emprunter l'idée allègrement...

Du temps où j'étais membre du Club XM Copains du 23 de Jonquière, un club de CBeurs (tsé, du monde dont le loisir est de commnuniquer par radio CB), nous avions, à tous les soirs, de 19 h 00 à 19 h 30, l'émission du Grand 10-45 du Club XM Copains.

Pendant cette émission, un animateur désigné, la plupart du temps équipé d'une "base" (un CB à la maison) lançait un appel à tous en onde afin que tous les gens à l'écoute s'identifie. L'utilité en fait était d'amener les gens sur les ondes afin que ceux-ci demeurent à l'écoute, et se parlent, pour la soirée. Ça nous permettait de nous connaitre en même temps.

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Le rapport avec un blogue? Je passe mon temps à me demander si j'écris dans le néant, ou si j'ai la chance d'être lu. Sauf quelques commentaires laissés de temps en temps, je n'ai pas beaucoup la chance de le savoir. On me dira: "ben, t'as inque à mette un compteur, tsé"! Ben, premièrement, je ne saurais pas comment faire! Ensuite, je ne veux pas savoir si 5-6 personnes reviennent aux deux heures voir si j'ai ajouté quelques choses, mais plutôt voir si il y a une diversité de personne qui me lisent. J'ai eu la surprise de ma vie lorsque quelqu'un m'a donné en commentaire le nom de la machine à Pop Sicle sur laquelle j'ai travaillé "pendant mes études": pas le choix, il doit avoir travailler là c'est certain!

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Donc, ce serait assez plaisant si, idéalement, chaque lecteur laissait en commentaire à ce message une courte description, genre: nom ou surnom, lieu de résidence (ou de boite à malle dans le cas des camionneurs), occupation, description de votre petite famille (votre amours et vos enfants ou vos parents et frères/soeurs) et, si vous avez une vie en dehors des blogues, ce que vous faites avec! Toutes autres informations pourraient satisfaire ma curiosité personnelle, ainsi que celle de mes 450 000 auditeurs (pour citer François Pérusse) et bien entendu, demeurera entre nous.

20 janvier 2008

Visite au cinéma

J'étais à Janesville, dans le Wisconsin. Il faisait une température froide. Très froide. Le relais où je m'étais arrêté pour le souper, un TA Express (donc, sans restaurant normal) n'avait pas grand chose à offrir côté divertissement. Il ne me restait que 45 minutes de route à faire pour me rendre chez mon client, où j'étais attendu le lendemain matin. Et comme pour me rendre jusque là, la route (US-14) était faite de glace, qu'il ventait très fort et que j'étais vide, j'ai rapidement décidé que je passerais la nuit ici.

De l'autre côté de la route, un centre commercial avait attiré mon regard. J'y avais vu un Boss Boy ainsi qu'un cinéma. Bien sur, j'hais les Bess Boy, mais pour tuer le temps, y'a pas mieux. Après avoir fait l'inventaire de tous les fromages et des saucisses disponibles (ayant énormément de fermes laitières et de norvégiens, le Wisconsin regorge de fromageries et de charcuteries!), je décide d'aller voir le cinéma pour savoir ce qui joue ces temps-ci (non, je n'en ai aucune idée car le cinéma américain n'est vraiment pas mon genre!).

Je pars donc à pied jusqu'à l'autre bout du centre commercial. Évidemment, le cinéma est le bâtiment le plus éloigné de la route. J'essaie de me cacher du vent en longeant les autres bâtiments, mais ce n'est pas vraiment efficace. Puis, enfin, j'arrive devant les affiches annonçant ce qui y joue. Ça fait un peu dur. Normalement, je choisis le film avec Lindsey Lohan, mais il n'y en a pas (et je crois que je ne suis pas à la veille d'en voir un nouveau... il parait qu'elle est nymphomane! Hmmm...). Je dois donc y aller d'un deuxième choix. La dernière fois, j'avais vu l'absudité avec Tom Cruise et son église sur la possible fin du monde... Infect!

Ben, je dois avoir un don pour la fin du monde... Je choisi Je suis une légende avec Will Smith. Ben, le monde achève encore!!! L'histoire se résume ainsi: un médecin annonce au bulletin de nouvelle qu'elle a trouvé un vaccin qui aide le corps à se guérir du cancer par lui-même. On présume, parce que ce bout-là n'est pas dans le film, que la population se garoche littéralement pour se le faire donner. Trois ans plus tard, tout le monde (ben, comme c'est un film américain, tous le pays) est décédé. Sauf une petite poignée de personne...

Dans la ville de New York, seul Will Smith et son chien ont survécu, car ils sont immunisés. Il est un chercheur qui travaillait sur le vaccin en question, et il cherche maintenant a guérir les "créatures". Parce que certaines personnes sont en fait devenu une sorte de monstre de forme presqu'humaine, sans cheveux, qui gueulent et bouffent tout ce qui saigne. Heureusement, ces créatures ne peuvent sortir à la lumière, car ils cuisent...

Will peut donc se promener en Mustang Saleen à une vitesse démentielle dans la ville de New York sans être importuné de toute la journée. Je ne sais pas comment ils ont fait, mais l'effet de ville en décrépitude, avec du foin qui sort de chaque craque de rue, et aucune voiture ou personne qui circule nulle part est bien réussi. Justement, dans le film avec Tom Cruise, il y avait un effet du genre, mais dans un tout petit secteur. Ici, on a vu tellement grand que c'est assez impressionnant! Quand on sait que New York ne se couche jamais...

Sans vendre le punch, la conclusion quasi-religieuse (encore là, nous sommes dans un film américain) m'a un peu déçu. L'autre partie de la conclusion par contre se tenait tout à fait.

Un bon moment, un bon film, avec un bon pof corgne (à volonté en plus, je n'avais jamais vu ça!).

13 janvier 2008

Petit bonheur

Aujourd'hui, nous sommes allés, tous les trois, écoutez un conte de La Guilde du Pain d'Épices.
http://www.paindepice.org/

Après que tous les enfants et tous les parents se soient présentés, les enfants ont regardé une magnifique maison de pain d'épices assez volumineuse et superbement décorée. Ensuite, lavage des mains pour tous les enfants (les chanceux!) qui allaient mettre la main à la pâte.

La cuisinière ayant préparé de la pâte de pain d'épices, il ne lui restait plus qu'à la rouler et, après avoir distribué des emporte-pièces en forme d'animaux à chacun, les enfants ont pu se tailler des biscuits qui furent cuits pendant la suite des événements. Sarah a reçu un emporte-pièce en forme de lion, "parce que c'est fort"!

Mamie d'Épice nous a ensuite raconté une histoire de pain d'épices. Le conte était "monté" un peu comme une chasse au trésor. À chaque étape, il y avait une autre découverte. Évidemment, le tout était enrobé pour que ça dure un peu plus longtemps. Il fallait bien attendre que les biscuits soit cuits! À la fin du conte, la découverte du trésor était un paquet de biscuit à partager avec son coeur.

Après le conte, nous sommes tous retourné à la cuisine, où les enfants ont décoré d'autres biscuits (parce qu'il faut qu'ils soient froids), qu'ils ont pu ramené à la maison. Ensuite, ce fut le temps de déguster les biscuits, maintenant prêt, qu'ils avaient découpé plus tôt, accompagné d'un bon chocolat chaud.

Ce fut donc une magnifique avant-midi pour nous tous.

P.S.: tous les ingrédients utilisés pour les biscuits, et tout ce qui est en vente sur place d'ailleurs, est bio et équitable. Les valeurs enseignés sont que la lecture est très importante, de même que l'entraide et le partage.

Le début de 2008

Après mon congé de fin d'année, au cours duquel j'ai bien profité du repos... malgré qu'à bien y penser, nous en avons fêté un bon coup cette année, beaucoup plus que depuis bien des années! Donc, où en étais-je?

Après le Pow Wow annuel du Jour de l'An, je m'étais avancé pour repartir dès le deux janvier, vu que c'était un mercredi, car en temps normal, "jamais avant le trois"... Cette année, je fus assigné pour aller à Dolbeau. Il faisait si froid ces jours-là, je n'avais pas vu ça depuis mes années de motoneiges. À Dolbeau, le soir vers 22 heures, en descendant du camion, mon manteau de nylon (genre équipe de hockey) a figé et s'est mis à "casser" à chacun de mes mouvements! Je suis revenu jusqu'à La Tuque. Ce soir-là, mon camion, moteur tournant, a eu toute la misère du monde à me tenir au chaud la nuit.

À mon réveil, j'avais un message texte de mon patron sur mon téléphone. M'étant couché tard, mon réveil était prévu pour dépasser 9 heures (ce qui n'est pas dans mes habitudes). Je téléphone donc au bureau. On m'assigne un autre Dolbeau. Wou hou, me voilà devenu temporairement chauffeur régional! Ben, j'aime ça!!!

Évidemment, à mon arrivée à notre cours de Montréal-Est, on me donne un livraison pour "en passant", à Joliette. Téléphone à mes amours, nous pourrons possiblement souper ensemble aux Galeries Joliette. Il faut toujours garder une porte de sortie dans le monde du camion, parce que la loi de Murphy est notre pain quotidien...

Ce client de Joliette est quand même assez vite sur ses patins, mais le ralentissement vient du ramassage que le chauffeur doit faire des morceaux de madriers qui retiennent le chargement. Ceux-ci sont trop cloués avec des clous dont la tête casse à les regarder. Et comme le client suivant est pour des rouleaux de papiers, il faut un plancher impeccable côté clous.

Affamé, je finis par m'en sortir. Je me rends sur le stationnement du centre d'achat, bordélique et mal déneigé, et encore sur le lendemain de Jour des Boites (crime, plus de 15 jours plus tard, c'est encore la folie dans les commerces!). Après un appel, je sais où je pourrai rejoindre mes amours. Et c'est Tiki-Ming qui comblera mon bedon. Sarah fait un peu beaucoup des siennes, alors nous concluons que l'idée n'aura pas eu l'effet de bonheur escompté. Agréable quand même.

Je reprends la route en début de soirée pour me rendre le plus loin possible au cour de cette soirée, car je dois être arrivé de tôt matin demain à l'usine de Dolbeau. La Gaffe, qui lui se redait à La Tuque, me rejoint à Bertier, afin que nous faisions un bout ensemble. Nous nous rendons jusqu'à Saint-Boniface afin d'y faire le plein, parce que les camions ont anormalement soif lorsque la température est aussi froide!

De retour sur la route, nous nous rendons jusqu'à La Tuque, où La Gaffe fera un somme avant d'aller chercher sa remorque demain matin. De mon côté, je poursuis "le plus loin possible", ce qui donne jusqu'à Lac Bouchette. Peu avant d'y arrive, la température se réchauffe et il se met à neiger. Beau temps pour s'arrêter donc!

Le lendemain, réveil très tôt afin d'arriver à Dolbeau avant que le bureau n'ouvre. Comme je me suis réveillé vraiment tôt, probablement parce que mon voisin de camion est parti juste avant, j'ai le temps d'arrêter chez l'oncle Tim de Saint-Félicien pour déjeuner. Ils sont en manque de pains blancs, le "paintier n'étant pas passé ce matin" (parole de l'employée en service). J'ai trouvé ça rigolo, parce qu'on disait ça quand j'étais jeune... Mais comme je mange un bagel, ça ne me touche pas vraiment.

Puis, hop à l'usine pour échanger ma remorque contre une chargée. C'est l'fun, je n'aurais jamais cru que dans une si petite compagnie (la nôtre), j'aurais pu un jour effectuer du "pinne-dépinne"! Très rapide pour le chauffeur. Après un message au répartiteur, me voici sur la route du retour.

Juste assez trop loin pour prendre le raccourci par les terres, je reçois un appel qui me donne la suite des choses: je vais chez moi avec le camion et la remorque, et je dois aller livrer dimanche après-midi chez le client en Pennsylvannie. Ce sera en souvenir du bon vieux temps...

*****

Après une journée chez moi, je me fais envoyer les papiers de douane près de chez moi (un jour, j'aurai un télécopieur) et je pars. Plus tard, je me rends compte que je dois passer via Lacolle/Champlain!!! Hoouuu en souvenir du bon vieux temps! Je me dis que je pourrai voir la nouvelle installation de Champlain, ouverte à l'été dernier je crois.

Je me rends tout d'abord chez Freddy, mais malheureusement, il n'y a tristement aucun camion sur le stationnement. Impossible donc d'y croiser de vieille connaissance! C'est samedi après tout... Je mange un bon souper avant d'aller faire le plein à la dernière sortie québécoise. En repartant, je sors de la mauvaise façon et je dois donc repartir vers le nord pour aller faire un demi-tour à la première sortie.

Je reviens donc vers le poste douanier. La route réservée au camion est maintenant déviée pour contourner l'ancien bâtiment. Un assez grand détour débouche sur une multitude de voies réservées entièrement aux camions. Et en plus, une bonne dizaine de guérite se dresse devant moi. Le CBP américain a fait ses devoirs. Chapeau à eux.

Je me suis rendu ensuite jusqu'à Wilton (encore des souvenirs... comme la belle Charlie) pour y établir mon quartier de nuit. Mais comme il me restait un bon bout, la nuit fut courte avant le départ.

Pour me sauver des péages et du New Jersey, je me suis créé une route à la mode de chez nous. Avec un rendez-vous pour midi, je suis arrivé chez mon client peu après onze heures. Deux heures plus tard, j'étais vide, et peu de temps plus tard, j'étais stationné pour le reste de la journée dans un mini-relais qui me fournit la connection Internet gratuite.

Le lendemain matin, j'arrive chez mon client pour y charger du papier à recycler. Tout se passe bien, avec une bonne procédure et des employés sympathiques. Ça m'a changer énormément des "cours à scrap" d'automobiles de mon temps de "plate-forme"! Ce n'est pas parce qu'il s'agit de déchets qu'on doit être traité comme d'la "scrap" nous-même!

Dès mon retour, j'échange ma remorque contre une pleine à destination de Plano, IL, ce qui complètera ma semaine.

À mon retour, notre garage a réassembler mon frein-moteur. Après les problèmes des dernières semaines de l'an dernier, ça fait du bien et ça me redonne de la confiance en mon si bon Mercedez.

Bonne fête Sarah! 2

Ma chère Sarah, c'est à ton tour...

Tout ceux qui ont un anniversaire autour de Noel sauront évidemment qu'on néglige trop souvent la fête qui se doit de venir avec cela. Sarah étant né un certain 30 décembre, Caro a, la plupart du temps, organisé la fête vers la mi-janvier (le temps qu'on se remette de nos lendemain de veille! Et maintenant, comme Brandon (le nouveau cousin de Sarah) a lui aussi son anniversaire le 4 janvier, pourquoi ne pas en profiter pour en faire une fête communautaire.

C'était donc hier soir le souper d'anniversaire pour les 5 ans de Sarah et les 6 ans de Brandon. Nous avons enlevé deux filles d'une amie (et comme il ne restait plus de place pour la maman, nous l'avons laissé derrière nous!) et tante Véro avait invité une amie de l'université (jadis) qui avait un garçon de 7 ans (barraqué comme un de dix ans!). Ça nous faisait donc un cercle d'amis artificiellement créé...

Les jeunes ont joué à Coller le nez du cloune (comme Coller la queue de l'âne dans notre temps), puis ils ont fabriqués et décorés leurs flûtes (tsé, un fzzzzzzzz que lorsque tu souffles dedans il déroule là là) et des chapeaux pointus-ballons. Chinoiseries obligent, il a fallu finir le découpage de certains autocollants et un ballon ressemblait plus à un condom percé tandis qu'un autre a explosé aussitôt gonflé! Au moins, aucun enfant n'en a été traumatisé! ;)

Ensuite, la tablée des enfants s'est régalé de bon canellonni (est-ce que j'ai le bon nom, Caro?) fait maison (la pâte) à la viande de cerf de Virginie égaré (on est quand même assez loin de la Virginie!), d'orignal et de porc, réchauffé dans la sauce extra-tomate maison elle aussi.

Aussitôt les enfants rassasiés, ils furent envoyé au salon pour laisser la place aux grands enfants. Malgré les assiettes géantes préparées par Caro (pour elle, une assiette normale nécessite presqu'assurément un deuxième servie), personne ne protesta et tous s'empifrèrent à bouche-que-veux-tu. Délicieux, Caro. Et merci à notre chasseur pour sa contribution.

Puis, il y eut une distribution de cadeau. Sarah a reçu beaucoup de vêtements, aux grands bonheur d'elle et de Caro (tsé les mausus de cossins de fond de garde-robes, un moment donné)...

Et comme nous avons donné à chacun un lecteur de disques compacts (ben oui, on achète encore notre musique sur des disques!), il fallait bien leur fournir un disque. Pour Brandon, ici depuis moins d'un an, nous avons choisi l'album de chansons de "Passe-Partout 20 ans ça se fête" (lancé lors du 20ième anniversaire). Ben, à notre surprise, il connaissait déjà une partie des chansons! Elles sont donc toujours apprises dans les maternelles! Bravo!

Pour Sarah, Caro lui a fait choisir son propre disque en lui faisant croire que c'était pour Brandon. Elle l'avait donc écouté un peu en magasin, et Sarah a dit: "C'est bon, je suis sur qu'il va aimer ça!" Crime, après avoir obstiné sa maman que le cadeau en forme de CD était pour Brandon, elle a fini par accepté qu'il y en avait un pour chacun d'eux. Et lorsqu'elle a eu fini de le déballer et qu'elle a vu que c'était le disque qu'elle avait elle-même choisi, elle était folle comme un balai (pour Marie-P...) et elle sautait partout!

Ensuite, il y eut dégustation du gâteau préparé par Mélissa (la maman pour laquelle il n'y avait plus de place dans l'automobile au départ). Mais les deux "ma-tantes-qui-n'ont-pas-d'enfant" ont, pour la première, découpé des morceaux de gâteau au chocolat énorme, et pour l'autre, ajouté des Jell-O et des muffins (crime mes tantes, des ti-culs de 5 ans là là!) et même des laits au chocolats en micro-format.

Pour l'ensemble de l'oeuvre, je lève mon chapeau à tous ceux et celles qui furent présents. Même moi, je trouve que ce fut une très belle fête, ce qui n'est pas peu dire!

1 janvier 2008

Ah ben mausus...

J'ai appris hier que mon fournisseur Internet pour le camion (Siricomm) a fait officiellement faillite il y a quelques semaines. Ça fait dur en sti toasté... Tous les fournisseurs de services pour les camionneurs finissent par faire faillite, soit souvent parce qu'ils partent en peur (trop d'investissement pour le retour d'argent possible) ou soit parce qu'ils se sauvent avec le cash (Siricomm s'est fait couper le service de son fournisseur pour défaut de paiement, et certains employés ont un mois de salaire impayés!).

Donc, j'avais payé pour un an, dont j'ai utilisé environ quatre mois... Je peux bien ne pas aimer les service prépayé!

Bonne Année!

En ce matin ensoleillé, je vous souhaite à tous une bonne année, remplie de santé et de bonheur!

Je suis très content de ma soirée de télévision d'hier soir:

2007 en rappel: La revue de l'actualité accompagné de l'Orchestre Métropolitain du grand Montréal. Une belle démonstration des émotions que la musique peut évoquer, surplomber des images relatant l'actualité de l'année.

La Fureur: Pour une dernière fois, nous avons écouter cette émission que nous avons tant écouté depuis les débuts. C'était une des émissions préférées de Sarah... et de moi et Caro (nous autres, si ça concerne la musique). Nous nous attendions à quelques choses de plus spéciale pour une dernière (tant qu'à descendre à Québec!), mais bon, l'émotion était à son comble lorsque Véro et Sébastien ont fait leurs adieus. Ici, nous pleurions tous les trois à chaudes larmes. :(

Infoman 2007: Jean-René Dufort est vraiment audacieux. J'avais lu récemment qu'il était allé en Afghansistan, mais je n'avais pas fait de lien. Autant en profiter pour faire des segments d'émission. Ce qui me fascine dans ce genre d'émission, ce sont toujours les subtilités que nous pouvons découvrir si nous portons une attention particulière.

Le Bye Bye de RBO 2007: Pour moi RBO font parti de ceux qui ne "chie pas de marde" (je devrais vous les énumérer un moment donné...), ce qui signifie que j'ai bien du mal à être objectif lorsque je parle d'une émission qu'ils ont fait. Mais je crois que cette année en aura été une d'un très bon cru. Différents numéros bien choisis, des invités imprévus cachés que je n'avais pas tous reconnus (il me manque encore, même en le sachant, Jean-François Breau) et la présence de Mes Aieux pour le décompte, nous permettant de comparer la qualité des costumes, des maquillages et des décors. Là-dessus, on voit le budget et le talent des artisans de la SRC.

Bref, ce fut une bien belle soirée de télévision. Il ne me restera qu'à visionner le spectacle d'ouverture des fêtes du 400ième anniversaire de Québec, parce que je me suis endormi au premier numéro (pas par manque de qualité, mais plutôt par "les fêtes ont été durs c't'année"!!!). Mais selon les nouvelles de ce matin, ça a l'air d'avoir été très bien aussi.