22 juin 2013

Pas de vide? Maison...

 Ce matin, je suis parti un peu en avance, soit à sept heures quinze. C'était une belle journée tranquille. Tout s'annonçait pour le mieux.

La traversée de Toronto, ON s'est fait assez simplement. Il était encore tôt, alors les sorteux n'étaient pas encore... sortis! Bonne affaire pour le camionneur qui avait, malgré tout, hâte de rentrer à la maison.

Je me suis arrêté pour une pause au ONroute de Port Hope, ON. Ce fut bref. J'ai ensuite poursuivi la route jusqu'au Flying J de Napanee, ON. En effet, alors que je faisais le plein hier, je me suis rendu compte que j'aurais dû plutôt aller au Pilot afin de faire aussi le plein de DEF. Mais je me suis réveillé un peu tard. Je devais donc arrêter une fois de plus. Et à l’heure qu'il était, autant en profiter pour diner. J'ai fait le plein de DEF avant de repartir.

En échangeant quelques messages avec mon bon Louis Goofy, nous nous sommes donné rendez-vous au relais de Cardinal, ON. Lui partait, et moi je revenais. Et nous arriverions en même temps. Et comme nos deux situations familiales se ressemblent ces jours-ci... Que ça fait du bien de se réconforter entre bons copains! Je me suis permis une pointe de tarte aux pommes avec la crème glacée pour accompagnée mon café. On peut appeler ça un cas de force majeur!

Je me suis ensuite rendu directement à notre cour de Montréal-Est afin de souper, mais surtout d'y laisser mon enveloppe à destination du bureau. Ça commençait à drôlement sentir la maison.

Ne restait ensuite qu'à me rendre à L'Assomption, QC afin de me débarrasser de ma remorque. Et en arrivant, j'ai pu constater qu'il n'y avait pas de remorque vide. Franchement, cette fois, ça faisait bien mon affaire. Ça voulait dire que je m'en allais alors directement à la maison.

Et à la maison, m'attendait une réception très appréciée pour la fête des Pères.

Ce fut finalement une très belle semaine. Malgré toute la pression relative avec l’horaire quasi-invivable, jamais je n'ai douté de l'appui de mon équipe au bureau. Jamais un mot de trop, jamais un air de catastrophe ou de fin du monde. Un très beau travail d'équipe... et je serais porté à ajouter: comme d’habitude! Ça doit être ça, la confiance. Merci, gang!

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