11 juin 2013

Je suis aprécié!

Ce matin, j'attendais mon message pour partir. En fait, bien que j'avais dit à Anna que je sera prêt vers dix heures, comme toujours, j'étais prêt avant ça. Alors que j'allais lui écrire pour lui dire de ne pas se gêner pour m'envoyer mes numéros plus tôt, le message qu'elle avait envoyé dès huit heures trente se présenta de lui-même. Il devait être perdu dans le néant des Internets...

J'ai commencé la journée par aller livrer un café à Caro (que je dois maintenant m'habituer à appeler "mon ex"!). Après la chicane de plus tôt, qu'elle semblait maintenant renier, elle était plus d'humeur. Mais je ne m'étendrai pas la dessus...

Je suis finalement parti à dix heures trente. La première étape était d'aller accrocher la remorque à l'usine de Joliette, QC. J'ai ramassé les papiers au bureau de la belle Martine, puis retrouvé la remorque, l'ai accroché et en ai fait l'inspection. Ensuite, j'ai mis tous mes papiers en ordre. Finalement, le temps était venu de retourner à la guérite pour sortir et pouvoir partir vers Lebanon, TN.

Cette fois, parce que la rentrée précédente avait été faite un peu en rapidité excessive, pour ne pas dire en catastrophe, je devais commencer par aller laisser mon enveloppe dans la boîte aux lettres à notre cour de Montréal-Est. J'allais donc devoir me taper la traversée de Montréal, et lorsqu'on passe toujours par en arrière, soit via la route 158, Terrebonne et Laval, on ne se rend pas toujours compte à quel point ça va plus rapidement. Jusqu'à ce qu'on ait à traverser Montréal...

Je me suis donc stationné dans notre section une fois arrivé. Je suis allé déposer ladite enveloppe, puis j'ai envoyé un message à Anna afin qu'elle la fasse ramassé. Rendu au mercredi midi, il est possible que les chauffeurs de ville vérifie un peu moins la présence des enveloppes. C'était ensuite le temps de dîner. Tant qu'à être déjà arrêter.

Je suis ensuite réparti pour entamer la traversée de Montréal. Qui était plus ou moins congestionnée. Rien d'inhabituel...

J'ai fait un arrêt express au ONRoute de Bainsville, ON. Puis, j'ai téléphoné à mon bon ami Goofy. Ça m'a fait du bien de ventiler... Tellement qu'il n'a pas eu le temps de placer un mot! Merci l'chum...

Avec tout ça, je me suis rendu au ONroute de Mallorytown, ON où c'était en plein le temps d'un café-muffin. On ne vas pas changer une formule gagnante pour si peu!

Je suis ensuite réparti vers Toronto. Me semblait que, pour la route en tout cas, ça allait bien. Tout ne peut pas être négatif! J'ai fait un autre arrêt express au ONroute de Trenton, ON. Mais je pouvais encore faire un bout avant de devoir souper. Et le Goofy, qui était dans Toronto, allait finir par en ressortir; nous pourrions peut-être prendre un café ensemble.

J'ai repris la route pour me rendre jusqu'au Ultramar de Port Hope, ON.  J'ai laissé un message à Goofy, puis j'ai soupé. Au moment de repartir, toujours pas de nouvelles... Ça peut être long de sortir de Toronto. Et bon, dans les faits, autant lui que moi n'avons pas nécessairement le temps de perdre quelques heures la dessus... Parce qu'on sait quand ça commence, mais on ne sait pas quand ça finit, ce genre de rencontre!

Alors que je reprenais l'autoroute, et à cette sortie, elle monte "comme dans face d'un singe", qui entends-je qui fait des "Yahoo"? Mon Goofy qui descend "à pine, à planche" sur l'autre côté. On se fait les salutations d'usage, et on se reprendra pour le café.

Rendu dans le coin de Kitchener (enfin, je crois), la circulation s'est arrêtée. Nous avons roulé à pas de tortue pendant quelques minutes. Puis, une voie en moins. Un peu plus loin, une autre... Deux voies à gauche qui ferme pour des travaux. Voilà la raison. Ça a finit par se passer, et j'ai pu reprendre de la vitesse.

Je me suis rendu plus loin, jusqu'à Drumbo, ON au Shell, pour y passer la nuit.

Et quelque part dans la soirée, Christine, une amie Facebook qui est vendeuse chez Excellence Peterbilt, me raconta qu'elle avait rencontré Jocelyn, mon patron, et qu'il n'avait eu que des éloges à mon endroit. Tout se sait, comme on dit. Même elle en était contente pour moi! Je lui ai mentionné que c'était réciproque et qu'en fait, c'était donnant-donnant.

C'est très bon de se savoir apprécié. Surtout cette semaine...

Aucun commentaire: