17 septembre 2013

Congé vite fait

Je me suis réveillé tout naturellement assez tôt. Disons qu’après quelques jours à se réveiller tôt, ça finit par devenir un automatisme. Je me suis fait un bon café, puis je suis parti en direction de la maison. J'avais quatre-vint-dix minutes environ de chemin de campagne en côte à faire. Pas de tout repos.

Mais j'ai fini par arrivé au Frit-O-Bec, là où je laisse mon camion lorsque j'ai aussi une remorque. Ouf, il commençait à être temps que la fin de semaine se termine. Et le pire, c'est qu'elle allait être terriblement courte! Mais c'était pour une bonne cause (le Truck'N'Roll et ma famille...), alors ça valait amplement les efforts.

Je me suis aperçu, quelque part en m'en venant, que j'avais mis mes rapports dans mon enveloppe, scellée et laissée "en ville". Normalement, je les garde avec moi, pour les envoyer par fax (avec une application) de la maison le lundi. Afin de désamorcer l’hécatombe appréhendée (André, il n'est pas facile!), j'ai écrit à Jolie Julie. Ça faisait tellement longtemps... Je lui ai dit que j'avais bien peur de paralyser la compagnie qui ne pourrait surement plus avancer sans mes rapports. Ça, ou bien ils n'auraient pas les données pour me faire une paye. Enfin, nous sommes en 2013, et TJB s'est enfin informatisé, alors j'imagine qu'ils peuvent retrouver mon pedigree autrement...

En chemin, Martin m'a contacté aussi pour savoir quelle journée je voulais mon rendez-vous de livraison, afin de le prendre dans la journée. Quand je vous dit que je suis gâté! Ben, c'est à la portée de tous les chauffeurs là, n'allez pas croire que j'ai plus qu'un autre... Je lui ai demandé mercredi vers dix heures. Disons minimum neuf.

De retour à la maison, donc, je suis allé à mon rendez-vous à la Caisse. Et ensuite, j'ai préparé mon départ pour le lendemain. Assez court comme pause-maison, je vous disais.

Aucun commentaire: