6 février 2008

Le dernier continent

La semaine dernière, pendant le cour de chocolat de Caro, je suis allé au cinéma. J'ai choisi de voir le film Le dernier continent, de Jean Lemire.

Premièrement, le clip dans le Bye Bye de RBO était d'autant plus succulent une fois que tu as vu le film. Évidemment, ça ne peut pas vraiment faire autrement, on voit Jean Lemire à peu près sur tous les plans de caméras, l'air un peu tête en l'air, cheveux dans le vent...

L'histoire du voyage: ils sont partis du Québec en bateau, le Sedna IV, un "boat-à-wel" à quatre mats, pour se rendre en Antarctique, afin d'y passer l'hiver, prisonniés des glaces.

Le film débute alors qu'ils sont presque rendu. Ils rejoingnent une base et s'installent dans une baie pas très large. Ils sont ravitaillés en nourriture par un brise-glace. Après quelques jours, une méga-tempête éclate. Les amarres pètent l'une après l'autre... On a vraiment l'impression d'y être. Ils doivent sortir de la baie pour aller s'amarrer un peu plus loin.

Puis, plus le temps passe, moins la glace prend. L'équipage commence sérieusement à "dépressionner" car ils ne peuvent quitter le navire avant que la glace ne soit prise.

Puis, un beau matin, la glace fini par prendre. À ce moment, ils sortent dehors pour faire du ski, du patin et de la raquette. On peut observer une maman phoque et son petit bébé sur la banquise, ainsi que les manchots.

Les images sont magnifiques. J'ai ressenti le même "trip" que lorsque j'avais vu Antartica, un bon vieux film japonais de chien de traineau. Ça m'a rapellé aussi les émissions de Jacques Cousteau, ou encore du Royaume des animaux, que j'écoutais dans ma jeunesse.

Et ça donne une petite idée de ce qu'est la vie sur un bateau. J'en veux encore plus un. Le seul défaut du film (mais il fallait bien faire des choix), c'est qu'on ne voit pas vraiment ce que les autres (les scientifiques entre autres) sont allé faire là.

Très bon film finalement.

*****

Et hier soir, pour la même raison, j'ai failli allé voir L'âge des ténèbres. Malheureusement, il ne passait qu'après vingt-et-une heure. Ce sera pour une autre fois.

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