Oups, au moment de commencer le voyage au Texas, j'avais oublié de publier la conclusion des vacances...
Alors voici:
*****
Pendant que Sarah et moi étions parti
pour la noce, Caro, la chanceuse (sarcasme énorme ici) a pu vivre le
Festi-Force Louis-Cyr en restant au village pour cause de Marché
Public. Chanceuse pour vrai, cette année, merci à Gaston, les Porn
Flakes étaient en spectacle le samedi soir.
Juste avant notre départ, nous étions
allé tous ensemble voir les installations. Il y a eu de la grosse
bisbille de village pendant l'été. Le cœur du festival a été
démembré. L'animateur, Gaston Boileau, qui connaissait tous les
participants depuis toujours, et toutes les légendes du village,
Louis Cyr et Donat Gadoury inclus, a été crissé dehors (parce
qu'on ne peut pas employé le mot remercié...)! Et monsieur Gadoury,
petit-fils de Donat, qui agissait comme arbitre des compétitions, et
qui fournissaient les objets authentiquement broche-à-foin fabriqué
jadis par Donat lui-même, subit le même sort. Ces deux là partis,
bénévoles de la première heure, créateurs du Festi-Force, son âme
et sa personnalité, ç'eut été du reculons, sans aucune attente,
que nous y serions allé. Le mariage adonnait donc bien...
Notre visite du vendredi soir, bien que
seulement les manèges et la tentative de tente aux artisans (qui
venaient des Iles Mouk Mouk tellement les prix avaient monté,
enlevant toute possibilité aux nôtres (et on sait qu'on en a toute
une délégation) de se faire connaître) installés, ne nous avaient
pas laissé espérer plus...
Le vendredi donc, Caro était à son
poste, aux légumes. Moi et Sarah, pas trop nerveux, avons diné avec
elle avant le départ. Pendant le voyage, ça nous faisait drôle que
ce soit moi et Sarah ensemble, et maman toute seule. L'inverse de la
normale.
Le samedi soir, Caro fut trop épuisée
pour aller voir ses Porn Flakes! Elle qui attendait ce spectacle
depuis qu'on l'avait su, ce n'est pas peu dire! Et sa visite au
Festi-Force pendant les compétitions ne lui a pas donné le goût
d'en voir plus. Sans son âme, difficile d'apprécier...
Mais je m'égare... Revenons à notre
voyage, Sarah et moi, chez Mamie, à Jonquière...
Peu pressé, nous sommes donc reparti
lundi. Mamie voulait allé magasiné un peu avec Sarah. Et moi,
j'avais un cadeau de noce à livrer. Nous sommes donc parti chacun de
notre côté, avec rendez-vous pour le diner au Centre d'achat.
Bien sur, j'ai fait patate avec mon
cadeau. Dans le sens que j'ai dû l'abandonner sur la galerie, les
mariés, ben évidemment, par encore revenu de leur nuits de noces!
Je me suis donc rendu à Place du Royaume, à la recherche de ma
fille et de sa grand-mère. Chanceux comme pas un, je les ai trouvé
en peu de temps. Savoir où elles allaient à bien sur aider!
Après un pas-si-pire repas de centre
d'achat (heille, c'est même rendu qu'il y a de la soupe tonkinoise
dans les « chinoiseries » de centre d'achats!), le temps
était venu de reprendre la route. C'est beau les vacances de maman,
mais un moment donné, nous devons allé la retrouver!
Nous sommes donc reparti vers Québec,
cette fois, via le Parc. La quasi-autoroute, avec des limites de
vitesse de quasi-autoroute! Je me demande si Marina (Larouche, pas
Orsini!) est contente du résultat?
Les arrêts furent L'Étape, le
Couche-Tard de l'Hôtel du chocolat* et la maison. En voyant sa mère,
Sarah, qui cinq minutes plus tôt ne se souvenait même plus qu'elle
en avait une, éclatat en sanglots, comme si ça faisait six mois
qu'elle ne l'avait pas vu! Dures retrouvailles!
Le lendemain, nous avions planifié une
visite au chalet de tante Irène (c'était bien avant qu'elle se
transforme en ouragan!). L'endroit est paisible, on y est bien reçu
(en fait, comme des rois), et la majorité du temps, la place est
pleine de visite. Ça permet de mettre les potins à jour.
Pour s'y rendre, il faut prendre la
route en croche qui relie Saint-Côme à Notre-Dame-de-la-Merci. Au
moins, ils ont fini par l'asphalter! Wow, si vous voulez essayer
votre auto, votre moto, ou juste vos nerfs, c'est LA route.
D'ailleurs, parlant de Notre-Dame-de-la-Merci, il faudrait bien un
jours aller voir le centre Mécaglisse... et peut-être se lâcher
dessus!
À notre arrivée, nous avons constaté
que Sylvie et Sylvain était là... Mais leur fils Maxime ne les
accompagnait pas, car il était à son camp d'été scout. Oh que
Sarah s'est illuminée juste en apprenant ça!
Nous avons donc pu jaser de tout et de
rien, refaire le monde et, surtout, boire et manger comme des rois!
Avec en prime un tour de ponton sur le lac. Bon, après le Baja, le
contraste était assez incroyable. Mais le lac étant tout petit, une
heure de ponton est une relaxation...
Puis, Maxime fut de retour! Alors il
nous a raconté un peu ce qu'il a fait dans son camp, tout seul comme
un grand, pendant quelques jours. Sarah écoutait attentivement, elle
qui veut faire parti des scouts cet automne. Notez que depuis ce
temps, elle est allé à sa première rencontre, et elle est revenu
emballée! Si ça peut lui apporter un peu d'autonomie et de
débrouillardise (et je ne suis pas inquiet), ça fera du bien à
tout le monde.
Après quelques jours, c'était le
temps de retourner à la maison, afin que Caro reprenne son kiosque
de légumes. Nous sommes donc allé faire les achats à Montréal en
famille, puis la tenue du kiosque aussi. J'avoue que, bien que je ne
sois pas trop dans mon élément (la vente et le public...), j'aime
bien ça, accompagné et remplacer Caro dans son aventure légumière.
Elle par contre, est vraiment dans son élément là-dedans!
Nous avons pris le dimanche et le lundi
comme congé, puis je suis reparti en camion dès le mardi pour
Wichita, au Kansas. Tiens, du changement!
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